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    QUE DIRE DE PLUS QUE RIEN.

     

    J'oubliai ma tristesse passée et mes problèmes intervenant ces temps-ci en cascade grâce à mes amis ainsi qu'à mon copain qui s'avérait être très attentionné, et profondément "in love" de ma personne.

     

    Tout allait bien dans le meilleur des mondes jusqu'au jour ou ma fabuleuse et fantastique mère décida de me rendre une partie de mes affaires personnelles (pour connaître les prémices du début de cette looongue et trépidante histoire, cf art1). Comme à son habitude, elle prit un malin plaisir à me réduire en miette, comme elle aurait fait avec un minable biscuit rassit. C’est l'état dans lequel était réduit mon esprit et ni moi, ni personne d'autres n'eut pu faire quelque chose.

     

    Durant les jours qui suivirent, je rassemblai de nouveaux les morceaux de moi-même à la petite cuillère.

     

    Je désirai  alors être seule et l’omniprésence de mes amis commençait à m’étouffer. A chacun de leurs gestes je trouvais quelque chose d’imparfait, à chaque parole, quelque chose à contredire… j’étais impitoyable avec eux. Ils étaient si gentils et je les malmenaient tellement.  J’avais besoin d’être seule, c’était mieux pour moi comme pour eux.  A nouveau.

     

     

    Et j’en suis là, à me poser tout un tas de question

     


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